Lancé en 2007, le Centigraphe Souverain est indubitablement une petite révolution mécanique et esthétique dans le monde horloger. En 2008, le Centigraphe Souverain a gagné le très prestigieux prix de de “L’aiguille d’or » décerné par le Grand Prix d’Horlogerie de Genève, ce qui est venu s’ajouter aux innombrables prix horlogers qu’a obtenu la manufacture F.P. Journe depuis sa création au début des années 2000. Le boitier en platine de 40MM possède un ingénieux système breveté lui permettant de ne pas arborer de part et d’autre de la couronne les boutons poussoirs classiques d’un chronographe. Il s’agit donc à la fois d’une coquetterie et d’une prouesse horlogère fidèle à la tradition de F.P Journe.
Le Centigraphe Souverain de face | Le verso du Centigraphe Souverain |
La légende veut que le Centigraphe Souverain soit le fruit d’une discussion entre F.P. Journe et Jean Todt (directeur exécutif de Ferrari à cette époque). Dans ses conversations avec Jean Todt, Journe estimait que les chronographes intimement liés au milieu de la compétition automobile n’avaient pas évolué d’un point de vue horloger depuis très longtemps. Cette lacune méritait à ses yeux que l’on se penche sur le sujet, d’où la naissance du Centigraphe. Le cadran et les compteurs particulièrement nourris d’informations offrent une lisibilité contestable. La montre reste néanmoins particulièrement impactante et ne laisse donc pas indifférent. Entièrement usiné en or rose, le calibre 1506 offre des finitions époustoufflantes
Zoom sur le totalisateur des heures | Les 3 compteurs du Centigraphe |
Le calibre 1506 en or rose | Illustration des finitions du cadran |
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